retard mais que voulez-vous...
C'est les vacances ma brave dame ! Donc moins de temps pour poster...
Alors, je vais reprendre là où je vous avais laissés. J'espère que vous avez survécu au suspens insoutenable des oeuf, car dans ce billet, on en voit enfin le dénouement.
Tout d'abord, il faut que vous sachiez que notre télé a été assez malade, et qu'elle a du subir une opération à circuit ouvert (oui, on nous le dit tout le temps : on a une vie de ouf !)
Maman a joué pour vous les reporters de guerre (oui c'était une mission très "risky") pour suivre quasi heure par heure l'évolution de cette éclosion mystérieuse...
Oulà ! ça se précise... un peu
Pendant ce temps...
On ne néglige pas notre hygiène pour autant !
C'était le vendredi de la sortie des classes. Papa est rentré de voyage. Il nous à raconté qu'il nous avait acheté des bonbons, mais qu'il les avait oublié dans l'avion, Gaspard l'a plutôt mal vécu...
Mais, il a vite repris goût à la vie quand il a trouvé les chips chinoise que papa avait rapportées de chez le traiteur pour notre dîner !
papa était très content de nous retrouver :
le suspens est insoutenable !!!
Samedi matin, maman a défait mes tresses, ça m'a donné un petit air de Tina Turner...
Puis, nous sommes partis prendre le petit dej' dans le centre :
Philippine avait commandé un pouce, pendant que nous nous délections de nos tartines et nos jus d'orange...
Après nous être sustentés, nous sommes allé faire les soldes !
Vous saviez que Mellow Yellow faisait des chaussures pour enfants vous ? Nous non jusqu'il y a peu...
Pendant que papa faisait des essayages, on s'est à peu près bien tenus... Enfin surtout la praline qui dormait...
petit rafraîchissement pour tout le monde !
Fin de l'intrigue, nos oeufs on presque fini d'éclore (en 48h env)...
Philippine à assisté à l'opération...
car nous avons du finir d'aider à venir au monde...
à nos bébés dinosaures ! Laure, on est prêts pour prendre la relève !
Après toutes ces émotions, nous avons laissé s'exprimer nos dons d'artistes feutristes...
En bonus, Philippine avec sa mèche en berne (ben oui, la pesanteur finit enfin par avoir le dernier mot ladite mèche poussant inexorablement)